Voyage En Belgique, Vers L’Enfer. (12/20)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

• Depuis, ces hurlements, je les ai entendues de nombreuses fois après le départ des clients lorsqu’une fille déplaisait à nos souteneurs.
Je me souviens des quatre premiers coups reçus, après je ne peux dire, quand je reviens à moi, je ne suis plus vierge, j’ai la verge d’Hugo dans ma chatte.
Moi qui voulais perdre mon pucelage en ayant un souvenir impérissable que je garderais toute ma vie dans un coin de ma tête, c’était raté, le seul souvenir que j’en ai, c’est un grand tunnel noir.
Hugo fait aller son sexe tout en me pinçant le clitoris ayant passé son bras sous mon corps, j’ai eu peur un instant qu’il ne veuille me l’arracher comme j’ai voulu le faire avec la bite de son comparse un peu plus tôt.
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, c’est un immense spasme de plaisir qui a irradié mon ventre, un spasme d’autant plus grand que ce ne sont pas mes petites masturbations de jeune fille qui m’avaient préparé à crier presque plus fort que sous les coups de ceinturon.
Plus je hurlais, mon plaisir plus j’avais honte, je n’étais pas au bout de mes peines, au moment où les jets de spermes m’ont inondé, j’ai encore ameuté tout le quartier.
À peine terminé Hugo est sorti de ma vulve, l’autre homme qui bandait et qui regardait Hugo me baiser a répondu à l’injonction de mon bourreau.

« Elle est à toi, tu as vu la petite salope que nous venons de trouver, elle va faire un malheur.
Pierre encule là, cette petite pute, elle sera prête pour recevoir les verges tout à l’heure. »
« J’aurais tort de m’en priver, tu sais que je prends deux fois plus de plaisirs à les sodomiser pourquoi m’en priverais-je, tu sais que ma femme me refuse ce plaisir ! »

• Pierre mon mari ?
• Au moment où j’ai senti son gland se présenter sur mon œillet, appuyer sans aucune précaution, j’ignorais que c’était lui, je l’ai compris lorsqu’il est venu avec une blonde, elle semblait très amoureuse et était toujours collée à lui.

Un moment, j’ai vu le poignet de la fille, sur la jolie gourmette en or son prénom était gravé, ALICE.
• Alice en es-tu sûre, la garce, ce bracelet, je lui ai offert pour ses 25 ans lorsqu’elle coiffait sainte Catherine.

J’avais des doutes après avoir entendu parler de la venue de Pierre, la semaine dernière avec une blonde, les propos de Marjorie confirment pourquoi je me retrouve à tapiner.
Qu’Alice ne me tombe pas sous les pattes, demain, dans huit jours, un an ou dans le haut delà, car elle ramassera la rouste de sa vie.
Son récit est tellement prenant que je me couche à ses côtés et mes yeux dans les yeux, je l’écoute fascinée.

• Je te disais que ton mec.
• Mon ex, chérie !
• Tu as raison ex.
Il a sa queue à l’entrée de ma rosette, qu’il percute sans se poser de questions me plantant son vit directement à fond sans plus de précaution, j’ai eu mal, mais entre le ceinturon et sa verge, c’était supportable.
J’ignorais cette pratique sexuelle, mais la pénétration qu’il m’a imposée, a commencé à faire monter la chaleur dans mon ventre.
J’ai essayé de le repousser, mais les coups de cul que je donnais m’empalaient toujours un peu plus, j’ai essayé de me persuader que si mon cul se mettait à exploser sous la jouissance, j’étais une chienne qui n’était bonne qu’à subir des saillis, j’ai joui et joui encore.

Je la regarde et lui lèche le bout du nez.

• Je suis bien une chienne en chaleur.
• Ne crois pas cela, tu es simplement une jolie jeune fille avec un corps magnifique qui fonctionne très bien et qui aime le sexe, je vais te jurer qu’elle chose ce soir.
• Quoi ?
• Je vais trouver une solution pour nous sortir de cette situation le plus rapidement possible même si je dois y laisser la vie.

Nous nous enlaçons et c’est dans cette position que nous nous endormons.
Tard en fin de matinée, nous sommes en train de nous doucher dans la baignoire afin de nous rafraîchir et de nous caresser avant d’attaquer notre journée de labeur, quand un mouvement et des personnes parlant fort dans le couloir, attirant notre attention.
Maman Claude fait le tour des chambres pour que nous descendions toutes dans la salle après avoir revêtu nos tenues de travail.

Cinq minutes et toutes sont là, les filles savent ce qu’il en coûte d’être en retard à une injonction de la direction, j’interroge Noémi qui n’ait informé de rien.
Derrière nous, des personnes descendent l’escalier, ma mère est devant suivi des deux malabars et surprise de Pierre avec accrocher à son bras Alice, je m’étais assis au bout du bar avec Marjorie appuyé à mon côté.
Ma mère a un regard vers moi guettant ma réaction, elle prend la parole.

• Monsieur Pierre a quelque chose à vous dire.

Pierre s’avance sans un regard pour moi.

• Hier votre camarade Christine a essayé de nous fausser compagnie, elle s’était cachée dans un des paniers à linge sales qui devaient partir ce matin à la blanchisserie, par cet acte, elle a mis en cause la manière dont nous vous traitons à partir du moment où votre travail est correctement fait.

Le faux cul, il nous oblige à nous prosti comme son père l’avait fait avant avec maman avant lui.
Voir nos s un week-end sur quatre pour des mamans est-ce les considéré ?
J’ai envie de leur sauté à la gorge et d’arracher les yeux de la salope qui a précipité ma déchéance.

• Monsieur Hugo, en ce moment, l’emmène à Amsterdam où elle travaillera dans la vitrine la plus pourrie de la ville pendant au moins deux ans.
Maintenant, un problème se pose, nous n’avons pas de filles disponibles pour la remplacer, je vous ai amené celle qui va la remplacer, Alice ici présente.

Un cri sort de la bouche de mon ancienne copine, elle se jette sur Pierre pour essayer d’arracher les yeux de celui qui la plonge dans la déchéance qu’elle m’a infligée.
Elle se roule au sol faisant une crise de nerfs, les deux malabars essayent, mais n’arrivent pas à la calmer, il donne un nouvel ordre !

• Déshabillez là et attachez là sur la roue, elle y restera jusqu’à la fermeture et aura le temps d’apprécier sa nouvelle condition.

En deux minutes, Alice est à poil ses vêtements arrachés par les deux hommes, ils la saisissent l’un par les pieds l’autre par les mains et sans forcer vont la déposer sur la roue.
Quand elle est attachée Pierre se saisit de la cravache et commence à la fouetter.
La force avec laquelle il frappe m’arrache le cœur, malgré le ressentiment que j’ai pour cette salope, n’est-ce pas moi qu’il y a peu voulait lui arracher les yeux, d’un bond je suis sur lui et j’arrache la cravache.
Je suis tellement sur les nerfs que d’un geste, je la brise en deux morceaux, Pierre est sidéré de ma rébellion, d’un coup toutes les filles m’entourent faisant bloquent avec moi, même maman Claude vient soutenir ses filles.

• Pierre, que tu fasses de nous des prostitués, je peux le comprendre, ta mère t’a élevé pour ça, j’ai enfin compris, quel salopard tu es.
Que tu prostitues ta propre femme, la mère de tes deux s, pourquoi pas !
Que pour toi tu n’aies pas plus de considération pour ta maîtresse que pour toutes autres femmes, tu vas trop loin !
Mais je ne supporte plus que tu humilies cette pauvre fille qui n’a aucun moyen de te résister !
Que tu te serves de nos chattes et de nos culs pour gagner ton fric même si c’est avilissant, nous ne pouvons pas résister, jusqu’à maintenant vos chantages ont bien marché !
Si tu lâches sur nous tes deux gorilles, vous n’aurez pas le temps de toutes nous maîtriser et vous serez aveugles simplement avec nos ongles.

Annabelle à mes côtés saisis l’une des bouteilles de champagne placées dans la glace en vue de l’ouverture, la frappe sur le bar pour la faire exploser afin qu’il lui reste un tesson bien asséré.

• Prends ça Léa, ce sera deux fois plus efficace, tu peux même leur trancher la gorge.
• Merci Annabelle, Pierre, je n’ai qu’une seule demande à te faire, plus de filles attachées sur cette roue, plus de cravaches dans ton établissement.
Tu laisses la roue comme un monument que les clients viendront voir avant de monter avec nous.

Maman Claude vient à mon aide.

• Pierre, je n’ai jamais osé te le dire, mais il y a longtemps que j’aie constaté que d’avoir une fille tous les soirs qui ne te rapportent pas un sou parce qu’elle se fait humilier par des clients pervers est une bêtise.

Noémi ajoute une pierre à notre demande.

• Patron, si vous accédez à notre requête qui tombe sur le coût du bon sens, vous devez prendre la même décision pour vos deux autres bordels, arrêtez la machine à bite de Bruxelles et la machine à gorges profondes d’Anvers.

Un grand silence ponctue les derniers mots prononcés par Noémi.
Je connais bien mon ex, je ne l’ai jamais vu prendre une décision importante sans un grand moment de réflexion, plus il est long, plus sa réponse sera favorable.
Après cinq bonnes minutes la réponse tombe.

• Je vous donne mon accord les filles, on essaye, si la rentabilité de ma boîte baisse, nous reviendrons aux bonnes méthodes mises en place par mon père afin de vous assouplir.
Détachez là !
Noémi, Léa, elle est sous votre responsabilité, si elle n’est pas assez performante, je connais des vitrines très classes à Anvers qui ne demanderont pas mieux que de la recevoir.
Poser lui son collier, j’y tiens, que je n’ai pas à revenir !...